Ce soir-là, la ville a changé de rythme. J’ai suivi le mouvement, entre scènes de rue et montée en tension vers un show final signé Mosimann. Tout vibrait — la foule, les basses, les regards. C’était brut, c’était beau. Mon objectif : traduire cette montée en intensité, de l’intime à l’explosif, dans une seule narration visuelle.

FÊTE DE LA MUSIQUE